lundi 14 novembre 2016

Les influences de Gaston Bachelard et de Stéphane Lupasco dans la peinture de James Guitet

Un texte qui propose de repenser les appellations "paysagisme abstrait" et "naturalisme abstrait" forgées par Michel Ragon pour qualifier les peintures de James Guitet.

C'est sur les archives ouvertes HAL SHS, par ici


Quelques photos que j'avais prises lors de mon entretien avec Guitet, dans son atelier à Issy-les-Moulineaux, en 2007 :



mercredi 19 octobre 2016

Merci !

Le poids des choses c'est fini.
Merci à tous les participants, à l'école des beaux arts de Nantes ainsi qu'au lieu unique, à APO33 et à la Nantes Digital Week !


Olivain Porry, arspoetica, 2016. Crédit photo: Marc Dieulangard


Les informations pour ceux qui voudraient les retrouver :

Le Poids des Choses
Une exposition en deux axes des étudiants des beaux-arts de Nantes, dans le cadre de la Digital Week.
Vernissage le 17 septembre 2016 à 18h30, 6 place François 2, Nantes
Ouverture de l'exposition au lieu unique de 16h à 18h

L'ERRANCE
au salon de musique, le lieu unique, Nantes
du 18 au 23 septembre 2016
du mardi au vendredi de 14h à 19h,
dimanche de 15h à 19h

ENTRE PERSISTANCE ET RETOUR (VERS SOI)
à la galerie des beaux-arts de Nantes, 6 place François 2
du 18 septembre au 2 octobre 2016
du mercredi au dimanche de 14h à 19h30

Commissariat d'exposition Anaïs Rolez

Le 24 septembre 2016
SOIREE PERFORMANCES
dans le cadre de [NEAR] II
Nantes Electronic Art Rencontre
22-25 septembre par APO33


L'exposition, dont le titre est à la fois une contrepèterie et une référence à la théorie des corps flottants d'Archimède, propose d'interroger notre rapport au réel à l'ère du numérique.
Étant donné :
que le virtuel ne s'oppose pas au réel,
qu'il y a de nouveaux modes d'apparaître, de nouvelles techniques de perception,
que la formalisation et l'analogie permettent de donner à comprendre des phénomènes autrement inintelligibles,
que les mathématiques, la géométrie, la poésie sont génératrices,
qu'en est-il des questions existentielles, de notre rapport à la mort et à l'existence ?
Que cela convoque-t-il dans l'expérience qui nous est propre ?
L'amour et la solitude ?
Quel est le poids du regard ?
Les lois de la gravité s'appliquent-elles dans un paysage modélisé ?
Comment se manifestent les forces qui s'appliquent sur nous ?
Les pressions s'exercent-elles toujours de la même façon ?
Y a-t-il un haut, un bas, un proche, un lointain ?
Un infini, un fini, un transfini, un indéfini sans sensation de vertige ?
Dans quoi les images numériques flottent-elles ?
Qu'est ce qui résonne ?
Y-a-t-il toujours une histoire ?
Ne se baigne-t-on jamais deux fois dans le même fleuve ?
Qu'est-ce qui perdure ? Où sont nos frontières ? Quelles sont nos structures ?
Peut-on faire une modélisation de l'expérience de la modélisation de l'expérience de la modélisation de l’expérience de la modélisation, etc. ?
Vingt-deux étudiants de l'école des beaux-arts de Nantes tentent par leurs expérimentations et leurs recherches artistiques de répondre à ces questionnements.

Le Poids des Choses